Le 23 mai dernier, j’ai eu l’occasion de me rendre au salon Vivatech à Paris Expo Porte de Versailles. Cet événement est le premier salon européen dans les domaines de la tech et des start-ups en Europe. Plus de 400 intervenants étaient prévus, dont nombre de personnalités renommées parmi lesquelles Bernard Arnault, les sœurs Williams, ou encore Arthur Mensch.
La popularité de ce salon aux 165 000 visiteurs illustre les résultats des politiques menées par Emmanuel Macron depuis 2017. En effet, la France est aujourd’hui le pays européen le plus attractif avec plus de 1 000 décisions d’implantation et d’extension de site pour la 5ème année consécutive.
Sur le thème de « Future is Now », plus de 13 500 start-ups ont présenté leurs innovations notamment dans les domaines de l’intelligence artificielle, la santé, le développement durable et les transports.
J’ai eu la chance de les découvrir aux côtés de ma camarade de longue date au sein du MoDem et secrétaire d’État chargée du numérique, Marina Ferrari.
Secrétaire du groupe d’étude sur l’aéronautique à l’Assemblée nationale et vice-président de celui sur les nouvelles énergies vertes et hydrogène, j’ai été particulièrement captivé par le projet d'Airbus, Optimate : un camion équipé d’un cockpit pour automatiser le roulage des avions sur le tarmac. Ces derniers travaillent également à la décarbonation de leurs appareils grâce à l’hydrogène.
Plusieurs start-ups toulousaines participaient au salon. Le chef de l’État a d’ailleurs désigné l’institut Artificial and Natural Intelligence Toulouse Institute (Aniti) comme un des IA-Cluster, c’est-à-dire un pôle d’excellence en recherche et formation en intelligence artificielle. Avec les 8 autres lauréats sélectionnés, l’Aniti bénéficiera d’un financement de 360 millions d’euros du plan France 2030 sur 5 ans.
Nous pouvons être fiers de Toulouse et de toute la Haute-Garonne, qui affirment ainsi une position de force dans le domaine de l’IA en France.
